Mois : juin 2018

Le jour où je suis allée à Méharin

On oublie parfois l’importance de se rendre dans les villages où ont vécu nos ancêtres. Moi la première bien entendue.

C’est à l’occasion d’une balade généalogique à Méharin que j’ai découvert ces deux stèles dans le petit cimetière entourant l’église. Elles étaient posées contre le mur de l’église. J’ai failli ne pas les voir.

Aurais-je des cousins cambodgiens ?

Depuis quelques années, j’ai entrepris d’identifier les frères et sœurs  de mes ancêtres en retrouvant au moins leurs actes de naissances, de mariages et de décès, ceci afin d’avoir une vision plus globale du cercle familial. Et parfois, je m’attarde au fil de mes découvertes sur la famille d’un de ces frères et sœurs.

C’est ce que j’ai fait avec Angélique Lavaud, sœur aînée de mon arrière-grand père.

A travers les registres matricules : portrait de familles en 1914

Qu’elle devait sembler bien loin cette guerre vue du petit village d’Orègue. Pour Jean Aribit et Jeanne Dublanc, parents  de six garçons et deux filles nés de 1874 à 1892,  la vie suivait son cours en ce début du 20ème siècle. Les trois aînés étaient mariés et pères de famille.

Famille Aribit-Dublanc

La famille Aribit-Dublanc (dans l’état actuel de mes recherches)

Et puis le 2 août 1914 :

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