Pauvre Maurice

Nous sommes en 1812 dans le canton de Montmorillon. Pour Maurice Lanneau, qui est né à Lathus en 1792, c’est l’année du tirage au sort qui décidera de son départ ou non dans les armées napoléoniennes. Le 21 février 1792, le conseil de révision décide de le réformer pour surdité comme il l’avait réclamé lors de son inscription sur la liste du tirage des conscrits de son canton. On imagine le soulagement de Maurice et de sa famille.

Oui mais pourtant…

Le jour où j’ai trouvé la succession de Geronimo Etchart, basque émigré à Buenos-Aires

Geronimo Etchart, je vous l’ai déjà présenté ici. Petit basque né dans le village de Sumberraute, orphelin de père à l’âge de 5 ans, il émigre à 13 ans en Argentine. Lorsqu’il se déclare au consulat de Buenos-Aires, il est fabricant de tabac. Je connaissais sa famille grâce à la déclaration de succession faite en France par sa femme Louise Piccalugga lors d’un voyage dans la famille de son mari. Je n’avais pas trouvé dans les registres paroissiaux numérisés par Familysearch son acte de mariage, ni d’ailleurs les actes de naissance de ses neuf enfants malgré une localisation très précise de la famille à Buenos-Aires. Au hasard de recherches dans les nouveaux fonds disponibles sur le site Familysearch pour Buenos-Aires, j’ai découvert son jugement de succession que j’ai parcouru avec l’impression d’avoir découvert un trésor.

Le jour où j’ai lu la presse ancienne

De Jeanne-Marie Lamiscarre, je possède, comme tout généalogiste consciencieux, son acte de naissance, son acte de décès et son acte de mariage.

Etudier une famille au Pays-Basque : entre émigration et lacunes

Comment mieux vous sensibiliser aux difficultés des recherches au Pays Basque qu’en vous présentant la famille de Jean Etchart et Marie Mendiburu telle que j’ai pu la reconstituer à force de recherches, de coups de chance et de surprises.

D’après l’état-civil, le couple a eu 13 enfants dont 3 morts en bas-âge. Mais comme toujours au Pays-Basque, rien n’est aussi simple qu’il n’y parait. Au décès de Jean en 1846, ce ne sont pas 13 mais 14 enfants qui sont désignés héritiers.

Et quand, dans un acte de 1867, Marie Mendiburu vend un terrain en ne citant plus que deux de ses 14 enfants comme héritiers de son mari, j’ai compris que les recherches sur cette fratrie n’allait pas être simple.

Le jour où j’ai rencontré Arnaud Etchart

J’ai pris l’habitude lorsque j’étudie une famille de rechercher systématiquement les naissances, mariages et décès de tous les enfants. Cela complique les recherches mais offre ainsi une vue d’ensemble de la famille et de son évolution dans le temps. Et puis, en publiant mon arbre avec ces informations, ce sont autant de petits cailloux que je laisse sur la toile. Et ces petits cailloux m’offrent parfois de belles rencontres. C’est ainsi que j’ai pu rencontrer Arnaud Etchart arrière-arrière-arrière grand-père de mes enfants par l’intermédiaire d’un de ses descendants d’une autre branche que la mienne…

Le jour où j’ai rencontré un instituteur en 1873

Petit dernier d’une fratrie de cinq enfants, Jean Delhoume est né à Charroux en 1849 dans une famille d’agriculteurs, petits propriétaires. Rien ne le prédestinait au professorat, son frère Gabriel de 19 ans son aîné est d’ailleurs recensé en 1850 avec un niveau d’instruction de 0.

Pourtant, Jean entre finalement à l’Ecole Normale de Poitiers. Après avoir eu son diplôme en août 1869 et enseigné quelques temps à Poitiers, il prend son premier poste à Availles près de Châtellerault le 19 août 1872. Availles est alors un petit village de 704 habitants. 

Un malheur ordinaire

Un acte notarié est parfois l’occasion de rentrer dans l’intimité de nos ancêtres. C’est en tout cas le sentiment que j’ai eu en lisant le testament de Marie Bidau.

Qui saura identifier ce mariage ?

Une cousine m’a fait parvenir une photo de mariage, mariage qu’elle n’est pas parvenue à identifier. L’un d’entre vous pourra-t-il m’aider ?

Le jour où je suis allée à Méharin

On oublie parfois l’importance de se rendre dans les villages où ont vécu nos ancêtres. Moi la première bien entendue.

C’est à l’occasion d’une balade généalogique à Méharin que j’ai découvert ces deux stèles dans le petit cimetière entourant l’église. Elles étaient posées contre le mur de l’église. J’ai failli ne pas les voir.

Aurais-je des cousins cambodgiens ?

Depuis quelques années, j’ai entrepris d’identifier les frères et sœurs  de mes ancêtres en retrouvant au moins leurs actes de naissances, de mariages et de décès, ceci afin d’avoir une vision plus globale du cercle familial. Et parfois, je m’attarde au fil de mes découvertes sur la famille d’un de ces frères et sœurs.

C’est ce que j’ai fait avec Angélique Lavaud, sœur aînée de mon arrière-grand père.

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